Les ventes mondiales des Chromebooks ont battu des records en 2020. Ces dernières ont été boostées par le télétravail et les cours à distanciel. Qu’est ce qui explique réellement ce phénomène ? Vous pourrez le découvrir en lisant cet article.
Grosses ventes des Chromebooks : explications du phénomène
À en croire le cabinet Canalys, jamais il ne s'est autant vendu de Chromebooks dans le monde qu'au 4e trimestre 2020. En trois mois, il s'est écoulé 11,2 millions d’ordinateurs Chromebooks, clairement un nouveau record. En considérant toute l’année 2020, ce sont plus de 30 millions d’appareils qui ont trouvé des utilisateurs, du jamais vu ! Cette ruée inédite est en partie due à la COVID-19 et les différents confinements qu’elle a engendrés dans le monde. Entre le télétravail et les cours en distanciel les besoins n'ont jamais été aussi grands. Répondant à leurs attentes et plus économique qu'un PC classique, le Chromebook a alors charmé plusieurs personnes.
Quels sont les avantages du Chromebook ?
Il existe de nombreux avantages à posséder un Chromebook. Tout d’abord, ces ordinateurs sont moins coûteux que les ordinateurs classiques. Cela s’explique par le fait qu'ils proposent un espace de stockage moindre et qu’ils ne tournent pas sous le système d’exploitation Windows, mais Chrome OS. À noter que ce dernier est un système d’exploitation Google et donc gratuit. Par ailleurs, le Chromebook répond aux attentes quotidiennes de productivité d'un étudiant ou d'un employé.
Car l’ordinateur intègre de nombreux outils en ligne (comme drive), auxquels il permet d’accéder. Étant peu exigeant en ressources, un Chromebook permet généralement une autonomie supérieure à 10 heures. En revanche, seules les applications disponibles sur le store Google Play peuvent être installées sur les Chromebooks. De ce fait, l’offre de logiciels compatibles est bien moins importante que sur un PC tournant sous Windows. Toutefois, il est possible d’y retrouver l'essentiel : suites bureautiques, lecteurs multimédias, solutions de retouche photo basiques, etc. Il n’y a alors que peu de saluts lorsque l'on sort de l'univers Google.